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What place for the Social Economy in the competitiveness agenda?

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What place for the Social Economy in the competitiveness agenda?

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Simplification through omnibuses, a new method of developing European law?

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Simplification through omnibuses, a new method of developing European law?

Simplification has been a stated priority of the Commission for several years, but it has accelerated significantly since the start of the 2024-2029 legislative term. This political momentum was confirmed in November 2024 with the Budapest Declaration, in which the Heads of State and Government expressed their desire to reduce the regulatory burden on businesses. The Commission now intends to limit the production of complex new standards while focusing on reviewing the existing acquis, particularly the texts adopted under the European Green Deal. This simplification approach is based on a mixed method: on the one hand, the Directorates-General and Commissioners' offices define political priorities (top-down approach); on the other, concrete feedback from businesses and stakeholders on the ground informs the proposals (bottom-up approach). The aim is to conduct a truly in-depth review, identifying regulatory inconsistencies and proposing substantial changes, far from mere cosmetic adjustments. The first "omnibus" package, currently undergoing legislative review, concerns the simplification of sustainability reporting. This project aims to reduce the data requirements imposed by the European Sustainability Reporting Standards (ESRS) by more than half, with the aim of making things easier for companies and auditors. EFRAG, a body mandated by the Commission, presented a first, streamlined version of the standards on June 20. However, if this version is deemed unsatisfactory, the Commission reserves the right to take over the revision. This process represents a true life-size test for the new European simplification method. The success of this project also depends on a delicate balance in the legislative process. While the Council of the EU has demonstrated constructive momentum by creating a specific working group on competitiveness, the European Parliament remains a more unpredictable actor. Nevertheless, a cross-party consensus seems to be emerging around the principle of simplification, including among left-wing groups, although they wish to avoid excessive deregulation. The Warborn report, which proposes going further than the Commission in simplifying the CSRD and the CSDDD, is an illustration of this. The expected plenary vote next fall could thus seal the political nature of the majority supporting these texts: either a right-wing coalition, including the far right, with the risks of dependency this entails for the future; or a broad, moderate "von der Leyen"-type majority, bringing together the EPP, S&D, Renew, and the Greens, as during the adoption of the Stop the Clock initiative. The successful implementation of the first omnibus could therefore lay the foundations for a replicable model, with thematic or cross-cutting simplification packages launched each year. Several projects are already under consideration: a digital omnibus in the fall, an environmental package, another on medical devices, and a broader one dedicated to health. However, an omnibus on competition law, particularly mergers, has been ruled out. Each new package will need to combine political ambition with regulatory pragmatism, with a view to achieving tangible simplification for businesses. Finally, the question of simplifying non-legislative acts (delegated and implementing acts) remains open. These texts, often considered overly complex, will not be the subject of their own omnibus, but the Commission plans to streamline their use by encouraging Directorates-General to classify these acts according to their usefulness: essential, useful, or superfluous. The objective is to reduce their number and limit the production of unnecessary standards. However, no guide or FAQ is planned to avoid further complicating the process. This first exercise, if completed without distortion, could thus set a precedent and become a true benchmark method for the Commission in the coming years. It would embody a new way of developing and revising European legislation, simpler, more efficient, and more closely connected to the realities of businesses.

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Social Economy at the heart of the European project

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Social Economy at the heart of the European project

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“Il faut un lobbying d’engagement pour défendre le projet européen” - Entretien avec Stéphane Desselas

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“Il faut un lobbying d’engagement pour défendre le projet européen” - Entretien avec Stéphane Desselas

“Il faut un lobbying d’engagement pour défendre le projet européen”Entretien avec Stéphane Desselas, président-fondateur d’Athenora Consulting Pro-européen convaincu, Stéphane Desselas préside Athenora Consulting, un cabinet de lobbying fondé en 2003 à Bruxelles. Défenseur d’un lobbying éthique, transparent et engagé, il analyse ici les mutations profondes que traverse l’Union européenne, et la manière dont les acteurs européens peuvent – et doivent – s’impliquer. Avec la situation géopolitique actuelle, l’Union Européenne traverse une période de doutes. Est-on à un tournant ? Stéphane Desselas : Oui, clairement. Rappelons que l’Union Européenne est née après la seconde guerre mondiale, dans un souffle d’espoir et avec des idéologies fortes : construire et cheminer ensemble vers des objectifs communs, ne plus jamais se faire la guerre… C’était un projet innovant, presque utopique, mais qui s’est concrétisé grâce à la génération de l'après-guerre, ce que j’appelle la génération des bienfaisants. Aujourd’hui, cette dynamique est en train de s’épuiser. Il y a un divorce grandissant entre les institutions européennes et l’opinion publique. En 2024, pour la première fois, le Parlement européen est composé de nombreux partis europhobes puissants, c’est un vrai virage pour l’Institution. Ce tournant impacte également le lobbying et la manière dont il se déploie n’est-ce pas ? Stéphane Desselas : Tout à fait. Il y a une pression croissante à Bruxelles. Je ressens cette guerre d’influence entre ceux qui souhaitent affaiblir l’Union Européenne de l’intérieur, et ceux qui sont attachés au projet européen. Je pense que chaque lobbyiste doit prendre ses responsabilités pour faire son travail tout en restant fidèle à ses valeurs. Personnellement, j’ai choisi de défendre les valeurs européennes auxquelles je crois profondément. On ne peut plus se contenter de défendre des intérêts sectoriels en vase clos. Il faut défendre un projet plus grand. Le lobbying doit devenir un lobbying d’engagement et jouer son nouveau rôle pleinement. Quel est ce nouveau rôle que vous évoquez ? Stéphane Desselas : Les grands enjeux contemporains tels que la sécurité, le climat, la souveraineté économique, dépassent largement les logiques sectorielles. Tous les acteurs doivent se positionner. Aujourd’hui, il ne s’agit plus seulement de défendre un quota, un délai ou l’amendement d’une directive, il s’agit de contribuer à un récit commun, à une vision. C’est aussi ça, le rôle du lobbying engagé : participer à la bataille des idées. Le lobbying est-il consubstantiel à la construction européenne ? Stéphane Desselas : Oui, on pourrait même dire qu’il est né, sous sa forme européenne, à Bruxelles, avec elle. Dans les années 1950, les agriculteurs ont été les premiers à structurer leur représentation auprès des institutions naissantes, pour peser sur la Politique agricole commune (PAC), une des premières politiques purement européennes. Le lobbying s’est développé parce qu’il y avait un besoin : les Institutions voulaient des retours concrets du terrain. Depuis, c’est une interaction permanente. L’Union Européenne évolue, le lobbying aussi. Aujourd’hui, on est entré dans une nouvelle phase, plus politique, plus idéologique.  Quel regard portez-vous sur les transformations économiques de l’Union Européenne ? Stéphane Desselas : On est à la fin d’une époque. Le libre-échange sans limites, la concurrence ouverte, la naïveté vis-à-vis de certains partenaires, tout ce que l’on a connu est remis en question. Les Etats sont de plus en plus protecteurs. La sécurité au sens large est vraiment devenue une priorité. Je crois que l’Union Européenne peut retrouver une légitimité si elle redevient ce rempart, cet outil de protection qui était l’un de ses piliers lors de sa création. Mais pour ça, elle doit être portée politiquement, et défendue avec clarté en termes de valeurs, de culture et de civilisation. Pourquoi ne pas plaider la cause d’un “nationalisme européen” pour faire bloc face aux nouveaux empires ? Ce n’est pas le projet européen des origines mais peut-être celui qui convient à notre époque ? Les citoyens ont-ils un rôle à jouer dans cette transformation ? Stéphane Desselas : Leur rôle est central. Ce sont eux qui donneront, ou non, une nouvelle légitimité au projet européen. Ce sont leurs votes, leurs mobilisations, leurs choix qui feront la différence. Mais les institutions et les influenceurs – dont nous faisons partie, nous les lobbyistes – ont aussi une responsabilité. On ne peut plus rester passifs. Il faut aller chercher l’adhésion, expliquer, convaincre, surtout auprès des jeunes. Cela m'attriste de voir que beaucoup d’entre eux rejettent le projet européen, projet qui fut pour moi un engagement de jeunesse fondamental. Vous êtes inquiet pour l’avenir de l’Union européenne ? Stéphane Desselas : Inquiet, non, je dirais que je suis lucide, surtout. Je ne sais pas si l’Union européenne existera encore sous sa forme actuelle dans dix ou quinze ans. Ce que je sais en revanche, c’est que ce projet reste, malgré ses défauts, le meilleur cadre possible pour préserver la paix, le dialogue et la coopération en Europe. Ce que Churchill disait de la démocratie, « la démocratie est le pire des systèmes, à l’exception de tous les autres » s’applique également au projet européen.

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The challenges of the Digital Fairness Act and online consumer protection

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The challenges of the Digital Fairness Act and online consumer protection

Protection des consommateurs en ligne : la Commission européenne muscle sa stratégie.Le 23 mai, le Cercle Europe et Technologies du Futur d’Athenora Consulting a eu l’honneur d’accueillir pérignon isabelle, directrice de la politique des consommateurs à la DG JUST pour un riche échange.À la croisée de la compétitivité, de la durabilité et de la régulation numérique, la Commission a défini trois priorités : définir un agenda politique pour les cinq années, assurer la mise en application des règles notamment par le lancement d’enquêtes, et enfin, élaborer le Digital Fairness Act Face aux enjeux liés aux plateformes d’hashtag#e-commerce, à la prolifération des colis à faible valeur et aux nouvelles pratiques numériques, les priorités sont nombreuses pour articuler protection des consommateurs et compétitivité des entreprises européennes. Le hashtag#Digital hashtag#Fairness Act, futur règlement contre les dark patterns, les modèles économiques addictifs, le ciblage abusif et les pratiques des influenceurs est au coeur des travaux. 📅 Une consultation publique est en cours jusqu’au 11 août sur le nouvel agenda du consommateur. La consultation sur le digital Fairness Act suivra ...

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Political trade-offs between competitiveness requirements and EU climate commitments

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Political trade-offs between competitiveness requirements and EU climate commitments

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INTERVIEW - PRESIDENT OF ATHENORA CONSULTING, STÉPHANE DESSELAS, PUBLISHED IN INFORMATIONS ENTREPRISE.

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INTERVIEW - PRESIDENT OF ATHENORA CONSULTING, STÉPHANE DESSELAS, PUBLISHED IN INFORMATIONS ENTREPRISE.

Le lobbying français se réinvente à Bruxelles entre éthique et stratégieBruxelles est devenu le cœur battant de la régulation économique, où se jouent des batailles d’influence décisives pour les entreprises françaises. Pourtant, beaucoup peinent encore à naviguer dans cet écosystème complexe, faute de méthode et d’anticipation. Stéphane Desselas, président fondateur d’Athenora Consulting, décrypte l’évolution de la profession et les clés d’un lobbying efficace, structuré et éthique.  Informations Entreprise : Comment avez-vous vu évoluer la pratique du lobbying français à Bruxelles au cours des 30 dernières années ?  Stéphane Desselas (Président Fondateur d’Athenora Consulting) : Lorsque j’ai débuté dans le lobbying européen, il y a 30 ans, la profession était encore balbutiante pour les Français. Nous étions peu nombreux à Bruxelles, avec des méthodes artisanales essentiellement basées sur le relationnel et la prise de contacts. Depuis, nous sommes passés à une véritable professionnalisation du métier. J’ai personnellement contribué à cette évolution, notamment à travers mes publications et livres, mes formations à Sciences Po, l’ICP, l’ESCP et d’autres institutions, ainsi que par la création du groupe des nouveaux lobbyistes en 2005.  Ce mouvement a permis à une nouvelle génération de lobbyistes, souvent formée aux méthodes anglo-saxonnes, d’imposer un lobbying structuré et efficace. Cette transformation était essentielle, car si les entreprises françaises ne faisaient pas entendre leur voix à Bruxelles, d’autres – Britanniques, Allemands, Américains – le faisaient à leur place. Aujourd’hui, le lobbying est devenu un levier stratégique incontournable pour les entreprises et institutions françaises, qui ont pris conscience de son impact face à la montée en puissance des normes européennes.  I.E : Quelles sont les erreurs les plus fréquentes que commettent les entreprises françaises? Stéphane Desselas : Une erreur classique des Français en matière de lobbying à Bruxelles est de calquer leur approche sur le modèle hexagonal. En France, le pouvoir est centralisé, concentré dans quelques institutions clés comme l’Élysée ou Matignon. À Bruxelles, c’est l’inverse : le pouvoir est diffus, réparti entre la Commission, le Parlement et les États membres. Penser qu’un appel au commissaire européen ou à la présidente de la Commission suffit à débloquer une situation est une illusion. Il faut, au contraire, travailler en profondeur, dès les niveaux techniques, auprès des directions, des unités, des représentations permanentes des Etats et des députés.  Autre erreur récurrente : le manque d’anticipation. Trop souvent, les Français interviennent en dernière minute, une fois que les décisions sont déjà en cours de validation. Les Anglo-Saxons, eux, influencent bien en amont, parfois des années avant qu’un sujet n’arrive sur la table de la Commission.  Il y a aussi un déficit d’implication dans les associations et les think tanks. Les Français veulent y être visibles – présidents, vice-présidents – mais sans véritablement produire du contenu ou être moteurs. Cela laisse le leadership à d’autres nationalités plus actives.  Enfin, croire que la seule influence française suffira à gagner à Bruxelles, n’est pas juste. L’Union européenne fonctionne de plus en plus par majorité qualifiée, et la France ne peut pas tout imposer seule. Il est indispensable de nouer des alliances. Et bien sûr, le lobbying ne repose pas uniquement sur un carnet d’adresses, mais sur des méthodes modernes et rigoureuses.  I.E : Qu’est-ce qui distingue Athenora des autres cabinets de lobbying à Bruxelles ?  Stéphane Desselas : Deux éléments fondamentaux nous distinguent sur le marché du lobbying à Bruxelles. Le premier, c’est notre engagement absolu en matière d’éthique. Dès notre création, nous avons fait le choix de ne pas travailler avec certains secteurs et avons instauré une clause de conscience pour nos collaborateurs, à l’image des journalistes, leur permettant de refuser des dossiers contraires à leurs valeurs. Nous avons aussi été le premier cabinet français à nous enregistrer au registre de transparence de la Commission européenne, afin d’afficher clairement nos pratiques. Cet engagement éthique est très important pour nos clients, qui évoluent souvent dans les secteurs des services publics, de l’économie sociale ou de l’intérêt général.  Notre seconde singularité réside dans l’approche méthodologique. Bien que français, nous avons tout de suite adopté les techniques anglo-saxonnes de lobbying, reconnues pour leur efficacité. Nous avons ainsi su marier une vision française de l’intérêt général avec des stratégies d’influence modernes et rigoureuses. Ce modèle, qui allie transparence et efficacité, nous permet d’obtenir des résultats concrets pour nos clients, loin des pratiques basées uniquement sur les carnets d’adresses. C’est cette combinaison qui nous positionne aujourd’hui comme l’un des cabinets de référence à Bruxelles.  I.E : Quel rôle joue l’intelligence artificielle ?  Stéphane Desselas : L’intelligence artificielle apporte une réelle valeur ajoutée au lobbying, mais elle doit être utilisée à bon escient. Aujourd’hui, elle est un formidable outil pour la recherche et la synthèse d’informations, ainsi que pour la rédaction d’argumentaires. Autrefois, ces tâches étaient confiées aux collaborateurs juniors ; désormais, elles peuvent être automatisées, ce qui représente un gain de temps et de productivité considérable. Cela permet aux lobbyistes de se concentrer sur ce qui fait la véritable valeur ajoutée de leur métier : la stratégie et l’interaction humaine avec les décideurs.  Cependant, l’IA ne peut en aucun cas remplacer la fonction d’influence, qui reste au coeur du lobbying. Convaincre un décideur politique repose sur des relations humaines, sur une capacité à comprendre ses attentes, ses contraintes, et à adapter son discours en conséquence. À ce jour, aucune machine n’est capable de reproduire cette finesse d’interaction.  Nous avons toujours été à la pointe de l’innovation technologique. Nous avons ainsi été pionniers dans la mise en place de veilles digitalisées et d’outils de pilotage, et nous utilisons même notre propre IA générative adaptée à nos besoins d’affaires publiques. Mais nous l’utilisons avec discernement : comme un outil de préparation et d’analyse, jamais comme un substitut à l’influence humaine.  I.E : Pourquoi avez-vous décidé de créer une coalition sur la réforme des concessions et marchés publics au niveau européen ?  Stéphane Desselas : Chez Athenora, nous avons toujours misé sur l’anticipation et la structuration des débats pour permettre aux grandes entreprises françaises d’être prêtes face aux évolutions réglementaires européennes. C’est dans cette logique que nous avons créé plusieurs cercles de réflexion, dont le Cercle des Réseaux Européens, qui regroupe plus de quarante grandes entreprises de services publics, qu’elles soient privées ou publiques, dans des secteurs clés comme l’énergie, les transports, les télécoms ou encore la poste. Un sujet stratégique se profile à l’horizon : la réforme des concessions de services publics et des marchés publics au niveau européen. Ce thème est central pour nos membres, car beaucoup d’entre eux sont directement concernés en tant qu’entreprises concessionnaires. Plutôt que de subir cette évolution, nous avons décidé de fédérer les acteurs français pour qu’ils puissent peser collectivement sur cette future réglementation. Nous avons ainsi initié la mise en place d’une plateforme de travail et d’influence, sous la forme d’une coalition. Son objectif : réunir les entreprises concernées, structurer leur positionnement, rédiger des prises de position et organiser un dialogue stratégique avec les institutions européennes. Nous nous entourons d’experts de haut niveau, notamment des professeurs de droit spécialisés, afin d’apporter une expertise pointue sur le sujet. Avec un calendrier de 12 à 18 mois avant que la Commission ne présente sa proposition, nous avons l’opportunité de peser en amont du processus législatif et d’assurer que les intérêts des entreprises françaises soient bien pris en compte.

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The challenges of standardization - influence and competitiveness

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Our expertise

Inform you

Knowledge feeds our influence strategies. We keep a close eye on our clients' issues and provide them with targeted analyses, which serve as decision-making and action tools. We alert them to the potential impact of European developments on their activities.

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Position you

Our mission is to listen to you and to build a relationship of trust with you, providing you with the right advice so that, together, we can build and implement your influence strategy.

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Act at your side

The methodological tools we have developed allow us to accompany you, from the design of the strategy to the implementation of influence actions.

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We coach public affairs teams and their management to enable them to engage with conviction, to understand the dynamics of influence and the codes of speaking within the European ecosystem. We have created a branch dedicated to this activity :
Athenora Academy.

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Our customers' testimonials

Xenophon Strategies is a Washington, DC based public affairs firm representing major European companies in the United States. When our American clients have interests in Brussels, Athenora Consulting isn’t just our first choice, it is our only choice. Natacha Clarac and Stéphane Desselas manage a skilled team of lobbyists and communicators who know the issues, politics and players in Brussels. Perhaps the firm’s greatest strength is using deep knowledge and decades of expertise to build strategies that work. When events in Brussels impact Athenora’s clients or their interests, the firm is there to analyze, educate and influence governmental actions. They are simply the best. David Fuscus, CEO, Xenophon Strategies, Inc.
Xenophon Strategies
Grâce à l'accompagnement d'Athenora, FAIR a pu accélérer son plan de rencontres avec des décideurs européens pour les sensibiliser à un sujet à la fois technique et politique : la diffusion des fonds d'épargne solidaire en Europe et plus largement le développement de la finance à impact social. L’expertise des consultants d’Athenora nous a permis de mieux préparer nos rendez-vous, d’ajuster notre argumentaire afin que celui-ci soit le plus lisible possible et de construire une stratégie à long terme. Participer au cercle Europe & Économie Sociale nous permet non seulement de nous tenir informés sur une grande variété de sujets mais aussi de prendre du recul, délaissant notre approche franco-française pour conférer une dimension pleinement européenne à notre plaidoyer.
Clémence Vaugelade, Responsable Plaidoyer & Projets internationaux / Advocacy Manager, FAIR
Pour une jeune PME comme Cem’In’Eu, le soutien d’Athenora Consulting est essentiel pour promouvoir nos prises de position en rupture avec l’industrie. Athenora nous a apporté son expertise tant dans le travail de structuration du discours en amont que dans la création d’un réseau d’interlocuteurs de qualité en aval afin de valoriser notre discours au sein des institutions et des décideurs européens. Les équipes d’Athenora sont particulièrement à l’écoute, réactives et disponibles tout en ayant un sens aigu du résultat.
Vincent Lefebvre, fondateur de Cem’In’Eu
L’accompagnement d’Athenora consulting a permis à une PME comme la nôtre d’obtenir un accès privilégié aux décideurs européens et de faire valoir nos messages au cœur des négociations politiques. Grâce au pilotage de notre action, dans une relation de confiance, nous avons développé notre notoriété au sein de l’écosystème européen et valorisé notre expertise pour promouvoir notre solution innovante. EN
Mickaël Drombry, General Manager, AlertGasoil EN
In the early 2000s, MGEN, the first French mutual health insurance company, was impacted by the European sphere. It was no longer a question of affirming the philosophical and political choice of integration into the construction of Europe, but of confronting the directives regulating insurance and the technical and prudential obligations of the European market. The MGEN then engages in a plea for the specific recognition of mutuality through its statutes governing free membership, collective solidarity and bodies resulting from democratic elections. It was about the recognition in the European market of the non-profit action of general interest. The mutual was looking for a spokesperson and a mediator with the European authorities. It found in ATHENORA a firm with experience in advocating for public services, led by actors (its founder Stéphane DESSELAS in the lead) who are convinced, committed and warm. With ATHENORA we met several European leaders, built and mobilized an international network of mutuals, initiated specific advocacy for SSGI, social services of general interest. The firm also offered us its availability to lead national information days on European issues. A beautiful shared adventure.
Jean-Michel LAXALT - President MGEN 1999-2009
L’équipe d’Athenora est notre lien à l’Europe. Elle nous aide à suivre de près les impacts des règlementations européennes sur nos activités. Grâce à ses conseils avisés et une capacité d’écoute, elle nous permet d’anticiper les décisions européennes et parfois même de les influencer, plutôt que de les subir. Dans un environnement européen complexe, nous sommes accompagnés dans nos actions de plaidoyer avec pertinence, pour mieux nous faire connaître, valoriser nos actions en tant qu’acteur de l’économie sociale et solidaire. Notre relation de confiance permet de nous engager dans une démarche d’influence transparente et responsable au service de nos adhérents.
Romain Guerry, directeur des affaires publiques, groupe VYV
Depuis deux ans, le Cigref s'est adjoint les services d'Athenora pour orienter et accompagner ses activités d'influence auprès des institutions européennes. Nous nous félicitons de cette coopération fructueuse qui a permis au Cigref de monter en maturité sur les affaires européennes. Avec Athenora, nous avons renforcé et les stratégies d'influence que nous développons au profit de nos membres et au service de l'intérêt général.
Henri d’Agrain, délégué général du CIGREF
Dans le cadre d’une mission commune de Cap Gemini pour une grande mutuelle d’assurances, j’ai eu le grand plaisir de travailler avec l’équipe d’Athenora. J’en retiens une aventure professionnelle particulièrement riche, des échanges stimulants, une expertise toujours au rendez-vous et un sens aigu du résultat pour son client… le tout dans une ambiance détendue et cordiale.
Renaud Berrivin, directeur de la Communication du groupe IMA (intermutuelles assistance)

Our cercles

Cercle des Réseaux européens

This "cercle" aims at sharing thoughts, fostering confidential exchanges with European decision-makers and informing on the regulatory frameworks that are taking shape in Brussels.

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Cercle Europe et Politiques Sociales

The Cercle Europe et Politiques Sociales brings together organizations such as mutuals, cooperatives, associations, foundations and social protection groups to which it offers the possibility of discussing European social issues.

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Cercle Europe et Technologies du Futur

The Cercle Europe et Technologies du Futur brings together companies, entrepreneurs, investors, researchers and associations, who wish to share their views on the future of new technologies and their applications in Europe. A place for debate and reflection, this “cercle” connects digital actors with the European ecosystem.

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Our references